Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

alphonse allais - Page 4

  • Webzine BD gratuit !

    Le webzine de BD+illustration "Out of Zébra" (mars 2013, 24p.), fabriqué avec les archives du blog, est consultable en ligne.

    Au sommaire de ce n° : les gags de W.Schinski, Naumasq, Zombi, quelques strips de Lola, le reportage de David Roche à Angoulême, les illustrations de Louise Asherson autour de la divine comédie, l'interview de Jérôme Anfré, W, des critiques BD, un conte d'Alphonse Allais, et une brassée de liens hypertexte vers les sites et les blogs remuants ou innovants de la blogosphère.

    Bonne lecture !

     


     


  • Guerre aux Ténèbres !

    [Poe, Barbey, Villiers, Allais... Les conteurs du XIXe siècle sont doublement modernes. Pour une bonne et unewebzine,bd,gratuit,zébra,bande-dessinée,illustration,robida,zombi,alphonse allais,métropolitain,dessin,panorama,ténèbres mauvaise raison. La mauvaise, c'est qu'ils ont fourni au cinéma toute la matière, et la manière de la traiter, coupant l'herbe sous les pieds de nos inventeurs, condamnés à la répétition ; la bonne, c'est qu'ils démontrent que le temps est à double sens, comme le métro. Ils ont fait machine arrière, avant qu'elle ne s'emballe. Dans cette voie ils nous précèdent.]

    Les plus que modestes fonctions dans une humble baraque de la Foire aux pains d'épice qu'un implacable sort me contraignit récemment à accepter - et encore bien content, moi -  m'initièrent à ce mode de locomotion bien à tort baptisé "Métropolitain", comme si le mot "Métropolitain" venait de deux mots grecs qui signifient "sous terre", ainsi que se l'imagine aisément la tourbe des illettrés.

    Fertile en avantages de toutes sortes, rapidité de la course, odeur de créosote excellente aux bronches, exigüité des voitures permettant aux voyageurs d'instructifs contacts avec leurs contemporaines, etc., etc., le Métropolitain, le "Métro" comme disent les gens pressés, ne présente, d'après moi, qu'un seul inconvénient, celui du manque de lumière pendant les neuf dixièmes du trajet.

    L'intérieur des voitures est somptueusement éclairé, je n'en disconviens pas, mais dehors ?

    Cet admirable tunnel aurait été exécuté par l'ingénieur Taupin lui-même qu'il n'y ferait certainement pas plus noir !

    Pour les gens comme vous qui se rendent de la station Concorde à la station St-Florentin, ces courtes ténèbres, parbleu ! ne présentent qu'un faible dommage ; mais, je vous prie, mettez-vous à ma place, pauvre moi, forcé chaque matin d'égrener le chapelet de Neuilly-Place du Trône et chaque soir Place du Trône-Neuilly, réfléchissez à ce que vous prendrez !

    Les esprits superficiels avec lesquels je me rencontre journellement au cours de ces sombres voyages ne manquent pas. "La Compagnie, s'indignent-ils, ne gagne-t-elle donc pas assez d'argent pour se permettre d'éclairer d'un bout à l'autre son céramique boudin ?"

    Et moi de hausser mes sages épaules. Un tunnel, en effet, un tunnel au sein duquel ruisselleraient des torrents de lumière ne serait jamais et malgré tout qu'un tunnel, un attristant tunnel.

    Le tunnel, mes chers amis, et en général tous les souterrains vers la création de quoi nous devons tous, ingénieurs et artistes, tendre nos efforts, c'est le tunnel, ce sont les souterrains aux creux desquels nous sera loisible d'admirer le libre ciel et les alentouresques paysages.

    Alors, m'objecterez-vous avec un sourire niais, ce tunnel ne sera plus un tunnel, et rien ne signalera la différence pouvant exister entre ce travail d'art et une simple ligne ferrée sillonnant à l'air libre les plus vertes campagnes ?

    ................................................................................................

    Peu désireux de perdre mon temps à discuter avec vous de telles pauvretés, je vous demanderai simplement si vous savez ce que c'est qu'un panorama ?

    Savez-vous, oui, ce que c'est qu'un panorama ? Connaissez-vous le principe du panorama ? Etes-vous au courant des trucs infiniment simples et peu coûteux grâce auxquels, collé sur un mur opaque, un tableau transparent, par derrière éclairé, peut nous fournir l'adorable illusion des éperdus lointains, des ciels de vertige... Songez...

    ...J'allais continuer, d'une voix d'apôtre, à clamer le bon verbe, quand une jeune femme, plutôt jolie, m'interrompit :

    - Et vous, qui faites votre malin, savez-vous quelle différence entre notre époque et celle de Henri IV ?

    - ???

    - Du temps de Henri IV, on parlait de mettre la poule au pot... De notre époque, on ne parle que de mettre au pot l'itain.

    - Mon Dieu ! Mon Dieu !...

    Ah ! Nous vivons dans de bien sombres laps !

    ALPHONSE ALLAIS

    (11 avril 1901) (Illustration Zombi + Robida)

  • Revue de presse BD (41)

    SPECIAL WEBZINES-BD

    fanzine,webzine,bd,gratuit,zébra,bande-dessinée,revue de presse,hebdomadaire,nicolas pinet,the story time,marc dutroux


    Dessin de Nicolas Pinet, qui contribua au webzine "The Story Time" n°2

    + Ainsi que la dernière sélection du festival d'Angoulême l'illustre, on ne fabrique plus des fanzines aujourd'hui comme on faisait dans les années 80, lorque la photocopieuse était la reine des adeptes du système D. Blogs et webzines ont remplacé les fanzines de BD photocopiés. Parmi les nouveaux webzines, j'aime bien "Néant progressif" pour son titre reflétant l'air du temps; on trouve dedans une cousine de Lola (de Zébra); et j'attends avec impatience le n°6 "spécial mythologie". On peut encore lire en ligne les défunts webzines "BD-Files" (7 n°) et Wartmag (11 n°).

    + Les Belges du site "8 Pages Comics" ont réussi à fusionner l'ancien système D avec le nouveau, puisqu'ils permettent de photocopier un mini-fanzine mis en page automatiquement sur leur site. Mon préféré, pour l'instant : "Yann Arthus-Bertrand vu de la terre", par Pascal Matthey - complètement dans le ton d'Alphonse Allais, qui brocardait déjà au XIXe siècle la tendance des écologistes au pire des gaspillages: celui de l'intelligence humaine.

    + "Charlie-Hebdo" s'est souvent couché, alors que dessiner est une arme dont il faut se servir." dit Yan Lindingre, le nouveau rédac' chef de "Fluide-Glacial" dans une interview à "Zut", webzine d'actualité culturelle lorrain (p.34).

    + Le prochain webzine "Out of Zébra", fabriqué avec les archives de ce blog, paraîtra début mars.

    + Retour à la BD traditionnelle, avec deux concours : le festival de BD de Lausanne (BD-fil) a lancé son concours 2013, un des mieux dotés (3500€) : le thème en est cette année les "nouveaux monstres", et la date limite pour expédier votre planche le 25 juillet.

    Il ne reste plus qu'une semaine, en revanche pour s'inscrire au concours d'illustration (2000€) organisé par "La Clef enchantée", sur le thème de "Cendrillon au Brésil".

    + Je termine sur ce "coup de gueule" qui me démange depuis quelques semaines déjà. Contre Enki Bilal, et surtout les agents de conservation du Louvre. Ceux-ci ont conçu une mise en scène aussi grandiloquente que ridicule, mariant tristement les oeuvres exposées avec des tartouillades de Bilal. Les élites culturelles françaises ont échoué pendant cinquante ans à initier le populo aux arcanes chiantissimes de l'art contemporain, le condamnant ainsi aux matchs de foot ou aux films de Gérard Jugnot. Et maintenant le ministère de la Culture veut utiliser la BD, qui a conservé l'estime du grand public, pour la mettre au service de sa démagogie. Vivement, comme pour la bouffe, la culture sans conservateurs ni additif numérique !

    + Le dessin de la semaine est de Sophie Raynal, extrait de son blog. Ses compositions évoquent celles du graveur britannique Baggelboy.

    (Zombi - leloublan@gmx.fr)

    fanzine,webzine,bd,gratuit,zébra,bande-dessinée,revue de presse,hebdomadaire,nicolas pinet,the story time,marc dutroux,blog,système d,photocopieuse,festival,angoulême,néant progressif,wartmag,bd-files,yan lindingre,zut,charlie-hebdo,sophie raynal,mythologie,lola,lausanne,bd-fil,concours,nouveaux monstres,cendrillon,brésil,clef enchantée,baggelboy,8 pages comics,yann-arthus bertrand vu de la terre,pascal matthey,alphonse allais,louvre,enki bilal,culture,gérard jugnot,foot


  • Conte de Noël

    Qu’ils sont dissemblables, en apparence, Arthur Rimbaud et Alphonse Allais, pourtant nés le même jour de la même année (20 octobre 1854) - l’adolescent génial et l’armoire normande sarcastique. Ils n’eurent que la bohême en commun, et ne la quittèrent jamais sauf pour mourir - le génie dans la douleur, l’armoire plus paisiblement.

    Pas facile aujourd'hui de faire comprendre comment la poésie d’Alphonse peut émouvoir plus que celle d’Arthur (on peut même trouver ce dernier un peu «Fanfan-la Tulipe» - première des fauchées par la rafale).

    Quoi qu’il en soit, amis de la bohême, nous vous offrons, le bon Alphonse et moi, ce conte de Noël merveilleux… à quelques jours près...

    fanzine,bd,zébra,bande-dessinée,illustration,alphonse allais,rimbaud,alphie,noël,plum-pudding,horse guard,conte

    Il y a maintenant trois ans, c'est-à-dire à l'époque de Noël, je me trouvais détenu dans une petite prison du Yorkshire, en prévention de vol, escroquerie, chantage, le tout doublé d'une assez vilaine histoire de moeurs sur laquelle il me serait pénible d'insister ici.

    Ce qui me vexait le plus en cette occurrence, c'était moins la détention elle-même que l'époque à laquelle elle se produisait.

    J'ai toujours adoré Christmas, cette fête des babies et du foyer, Christmas, le bon Christmas.

    Du gui, du gui, encore du gui !

    En Angleterre plus que partout, et particulièrement dans le Yorkshire, la fête de Noël a un caractère d'intimité dont le boudin parisien ne donne qu'une lointaine idée... si lointaine.

    Pour l'intimité, je n'avais rien à dire. Ma cellule était intime, un peu trop peut-être.

    Mon geôlier m'avait... Oh ! l'étrange geôlier ! C'était un ancien horse-guard qui avait perdu une jambe dans la guerre contre les Ashantees.

    Comme il s'était engagé jadis aux horse-guards pour l'uniforme, il avait tenu, malgré son amputation et sa nouvelle fonction, à conserver son ancien costume.

    Et c'est vraiment une très comique chose, de voir d'un côté une jambe de bois et de l'autre une culotte de peau, une botte et un éperon.

    Très comique et très touchante chose !

    Cependant, malgré tous ces détails, la nuit de Noël arrivait.

    Et moi qui étais invité à un réveillon aux îles Féroé, dans la sainte famille d'un pasteur évangéliste !

    Vous tous qui me lisez, ou presque tous, vous avez été en prison ; mais, étant en prison, avez-vous vu tomber la neige ?

    Ah ! Quelle horreur, la neige qui tombe quand on est en prison !

    La seule sensation qui vous rattache au monde extérieur, le bruit, le délicieux bruit (sweet noise) disparaît.

    On ne voit plus rien, on n'entend plus rien !

    Et elle tombait sans relâche, oblique, drue, serrée, si bien que ma pauvre petite cellule en était obscurcie et comme étouffée.

    Un bruit surtout me manquait, parmi ceux que j'avais remarqués et que j'aimais depuis ma captivité ; c'était celui de la promenade de mon geôlier dans la grande cour de la prison.

    D'abord, pan !... le coup mat de la jambe de bois sur le pavé, et puis le toc !... triomphant et vainqueur du talon de la botte, métallisé par la vibration de l'éperon, et puis ainsi de suite.

    Mon vieux horse-guard ne se promenait-il plus, ou bien le bruit de sa marche était-il étouffé par la neige ?

    Je me posais ces questions avec l'inquiétude vaine que crée l'oisiveté de la vie cellulaire.

    La nuit de Noël était venue, et je n'avais pas pu me décider à me coucher.

    Les cloches sonnèrent dans la ville d'abord, et dans les petites paroisses voisines.

    Ces dernières, étouffées par la neige, voilées par le lointain et si attendrissantes que je sentis se mouiller mes yeux.

    J'ai toujours pleuré en écoutant, dans le loin, les cloches de campagne.

    - Go in ! fis-je en m'éveillant de mon rêve bleu.

    On venait de frapper à la porte de la cellule.

    C'était une toute blanche et rose fillette d'une quinzaine d'années, portant à son bras gauche un petit panier et tenant à la main droite une grosse touffe de gui.

    - Good night, sir, dit-elle.

    - Good night, miss, répondis-je.

    Et elle continua, toujours en anglais :

    - Vous ne me reconnaissez pas ?

    - Mais si, répondis-je dans la même langue, je crois vous avoir déjà rencontrée dans un album de Kate Greenaway.

    - Non, pas là.

    - Alors, dans ma belle image de Randolph Caldecott.

    - Non plus.

    Un silence.

    - Comment ! dit-elle d'un air mutin, vous ne vous rappelez pas ? L'année dernière, vous m'avez sauvée d'une mort certaine. Je traversais Trafalgar Square, lorsque soudain et en proie à une rage subite, l'un des lions en bronze de cette place se précipita sur moi. Je n'eus que le temps de fuir. Un omnibus passait, vous ayant sur l'impériale. Vous vous penchâtes, et d'un bras vigoureux m'enlevâtes à la voracité du fauve. Toute penaude, cette bête reprit sa place immuable et le rôle décoratif que lui avait assigné l'artiste.

    J'avais beau rassembler mes souvenirs, je ne me rappelais rien d'analogue. Mais elle insista tellement :

    - Même que c'était l'omnibus de Bull and Gate. Vous alliez à la Villa Chiavenna, chez votre ami Lombardi.

    Devant un fait aussi précis, je m'inclinai.

    Elle sortit de son panier le plum-pudding de la reconnaissance, quelques bouteilles d'ale, et nous soupâmes joyeusement.

    A l'aube, elle s'enfuit emportant mon coeur et les bouteilles vides.

    Depuis, j'ai cherché à me rappeler ce curieux incident de Trafalgar Square.

    Je n'ai jamais pu.

    Il est vrai que je ne me rappelle pas davantage la prison du Yorkshire, le geôlier à jambe de bois, sa fille blanche et rose, le plum-pudding et les bouteilles d'ale.

    C'est drôle, dans l'existence, comme on oublie tout.

     

    fanzine,bd,zébra,bande-dessinée,illustration,alphonse allais,rimbaud,alphie,noël,plum-pudding,horse guard,conte,randolph caldecott,kate greenaway,christmas


    by Alphonse Allais & Zombi

  • La semaine de Zombi

    Samedi : Faudrait peut-être prévenir les gays que, s'ils se marient, ils vont devenir aussi tristes que Christine Boutin.

    fanzine,zébra,bd,caricature,zombi,humour,gay,mariage,alphonse allais

  • Au Chat noir

    Je m'en voudrais de ne pas signaler, au musée de Montmartre actuellement, une expo. dédiée au "Chat noir", célèbre cabaret parisien (doublé d'un journal satirique), fondé par le peintre Rodolphe Salis (1881). Le cabaret draina jusqu'à la Butte tout ce que le Quartier latin comptait alors d'artistes ou d'anarchistes, anciens membres du club des "Hydropathes" ou des "Hirsutes".

    Je m'en voudrais, à cause de l'admiration sans bornes que j'ai pour Alphonse Allais (que je situe au-dessus de ce que tout le XXe siècle a donné ensuite comme poètes ou philosophes, même L.-F. Céline ; je dispose de quelques arguments solides, mais pas assez de place pour les étaler ici...)

    D'ailleurs l'influence du "Chat noir" sur l'art français est, aussi, largement sous-estimée. Pourtant, la rupture de Céline avec le style académique a été préparée par les auteurs de ce cabaret ; la rupture de Picasso lui doit plus encore. Ce qui a nui à la réputation publique de la clique de Salis et Allais n'est autre que leur modeste fantaisie ; le surréalisme d'Alphonse Allais ne se prend pas au sérieux : il est donc inutilisable par les instituteurs ou les conservateurs (de musée), qui réclament l'onction.

    fanzine,zébra,bande-dessinée,illustration,kritik,chat noir,cabaret,rodolphe salis,montmartre,butte,alphonse allais,adolphe willette,picasso,apollinaire,céline,académisme,henry somm,caran d'ache,daumier,humour,politique

    - Adolphe Willette (1857-1926), présenté aujourd'hui, avant d'aborder Henry Somm et Caran d'Ache une autre fois, est un peintre converti à la caricature de moeurs/politique. Willette ne révolutionne pas le dessin, comme on peut le constater, contrairement à Daumier auparavant. Willette se contente d'en perpétuer l'humour. Celui-ci va de la plus légère gaudriole aux sujets les plus graves, voire tragiques ; et il n'épargne aucun milieu, même si le bourgeois constitue une cible de choix. Cette palette, la plus large, est une des marques de fabrique du "Chat Noir".

    fanzine,zébra,bande-dessinée,illustration,kritik,chat noir,cabaret,rodolphe salis,montmartre,butte,alphonse allais,adolphe willette,picasso,apollinaire,céline,académisme,henry somm,caran d'ache,daumier,humour,politique

    fanzine,zébra,bande-dessinée,illustration,kritik,chat noir,cabaret,rodolphe salis,montmartre,butte,alphonse allais,adolphe willette,picasso,apollinaire,céline,académisme,henry somm,caran d'ache,daumier,humour,politique

  • Lecture Zébra n°2

    Vous pouvez lire gratuitement le fanzine Zébra n°2 qui vient de paraître via le site de partage de fichiers issuu.com

    (Possibilité de commander un exemplaire du tirage limité à 200 ex. à prix coûtant en nous écrivant à zebralefanzine@gmail.com)

     
    Au sommaire de ce numéro (80 p.)
    - 10 p. d'humour noir ;
    - Walter, détective privé ;
    - Une journée dans la vie de Nahem Moon ;
    - Comment réussir sa cuisine ?
    - Un conte d'Alphonse Allais illustré ;
    - Des aventures de cartons à dessin égarés dans le métro.
    - L'abécédaire de Lola - "c" comme "cigarette" et "d" comme "déconnexion".
    - Stéphanie, from Hell.
    - Comment fabriquer une table lumineuse.
    - Dédale ou Frankenstein au royaume de Minos.
    - Un chat sur un billard.
    - En attendant le train.
    - Georges Colomb, alias "Christophe", pionnier de la bd et père du Savant Cosinus, Plick et Plock, le Sapeur Camember, la Famille Fenouillard.
    - Comment Dante et le Chaperon rouge se rencontrèrent (suite de Zébra n°1)
    - Des critiques BD : le Tampographe Sardon, Alexandre Pompidou, Pablo Picasso, La Famille de B. Vivès